Conditions de travail
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Communiqué de presse : Baccalauréat 2021, une tenue d’épreuves dans des conditions dégradées
Hier, jeudi 17 juin, se sont tenues les épreuves de philosophie en terminale et les épreuves écrites anticipées de français en première, après deux années de crise sanitaire.
Contrairement à l’année passée où ces épreuves avaient été annulées, les élèves de première et terminale ont dû composer hier en (...)
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Épreuve de Philosophie 2017 : pétition intersyndicale proposée aux correcteurs et correctrices
Pétition intersyndicale (Snes, Snalc, Cgt, Sud) et interassociative (Appep, Acireph, Sopphie) proposée aux correcteurs et correctrices des épreuves de philosophie au baccalauréat
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L’Éducation Nationale responsable d’un niveau élevé de souffrance chez les professeurs STI
Résultats d’une enquête universitaire
Suite à la dernière réforme de la filière technologique industrielle en lycée, de nombreux cas de burn-out ont touché les enseignants et un suicide a été reconnu comme« imputable au service ». Aujourd’hui, une enquête* menée par un laboratoire de recherche de l’université de Paris-Descartes vient révéler l’extraordinaire ampleur de la souffrance des collègues de STI ainsi que la manière dont l’institution les a abandonnés à celle-ci. Explications.
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Le suicide d’un enseignant reconnu comme « imputable au service »
Presque deux ans après le suicide d’un enseignant dans le Calvados, le jour de la rentrée scolaire dans son lycée, le syndicat Sud Éducation affirme que le rectorat a reconnu son geste comme « imputable au service ». Une première en France selon le syndicat, qui n’a eu de cesse de dénoncer l’effet des conditions de travail qui empirent sur le bien-être des enseignants.
Le 6 septembre 2012, un communiqué du syndicat Sud Éducation dénonçait « la souffrance des personnels de l’Éducation nationale qui n’a fait qu’empirer ces dernières années ». Quelques heures plus tôt, un enseignant « nouvellement affecté » dans un lycée du Calvados, âgé de 40 ans, s’était suicidé, en ce jour de rentrée scolaire. Il effectuait ses premiers pas en lycée après avoir enseigné en primaire. Le syndicat ajoutait : « Comme après chaque suicide, le rectorat nie la relation avec le travail et dans ce dernier cas utilise une cellule dite psychologique pour demander au personnel de rester silencieux sur l’évènement, et pouvoir d’autant mieux renvoyer à la sphère privée ».
Presque deux ans plus tard, le ministère de l’Éducation nationale a fait marche arrière, selon Sud. Le recteur aurait reconnu ce suicide comme « imputable au service »...