Précaires
Articles publiés dans cette rubrique
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Les prud’hommes sanctionnent lourdement l’Éducation Nationale
Tous les EVS recrutés en Contrat d’Avenir peuvent aujourd’hui prétendre, en s’appuyant sur ce jugement à une indemnisation pour défaut de formation et à une requalification de leur contrat en CDI. Le Collectif49 des précaires de l’Éducation Nationale et les syndicats qui le soutiennent (SNUipp et SNES FSU, CGT Éduc’action et Sud Éducation) sont à la disposition de tous les précaires qui envisagent un tel recours.
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Pas de CDI, l’Etat aux Prud’hommes
Neuf contrats aidés travaillant dans des établissements scolaires de l’académie déposent plainte contre le lycée Jean-Jaurès de St-Clément-de-Rivière. « Il est considéré comme l’employeur mais c’est une façade, explique l’avocate des salariés, Me Yehezkiely.
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Contrats aidés : CUI le nouveau contrat dit « aidé »...
Fidèle à une logique qui perdure depuis plus de 20 ans, le gouvernement vient de créer un nouveau type de contrat aidé. Cette logique veut que la précarité soit la seule réponse apportée au problème du chômage et au manque récurent de personnels administratifs dans les services de l’Etat.
A partir du 1er (...)
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Contre sommet France Afrique- marche des sans papiers
Quelques photos prises lors du contre sommet Afrique France à Nice et Cannes.
L’accueil des sans-papiers après un mois de marche entre Paris et Nice , un moment de solidarité, de fraternité et une lutte exemplaire..
Hier colonisés, aujourd’hui exploités, demain régularisés..
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CAE , CA, CUI , contrats aidés (et précaires) dans l’education nationale : faites respecter votre durée légale de travail !
Il est illégal de faire rattraper les périodes de fermeture de l’établissement durant les vacances scolaires aux salarié-e-s en contrats dits « aidés » en augmentant leur durée hebdomadaire de travail.
Le code du travail, qui prévaut sur toutes les clauses contractuelles de droit privé, stipule en effet dans son article L 3141-29 que « lorsqu’un établissement ferme pendant un nombre de jours dépassant la durée des congés légaux annuels, l’employeur verse aux salariés, pour chacun des jours ouvrables de fermeture excédent cette durée, une indemnité qui ne peut être inférieure à l’indemnité journalière de congés ».