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Articles de cet auteur

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Toutes et tous en grève le 10 novembre : pour des demi-groupes, pour un plan d’urgence !
Au-delà des dédoublements, pour pouvoir faire face à la crise sanitaire il faut créer des postes et construire des locaux pour baisser les effectifs. Pour cela, il faut immédiatement admettre comme fonctionnaires les candidat-e-s sur les listes complémentaires et les admissibles aux concours internes. Il faut un plan d’urgence pour l’éducation, comme le revendique SUD éducation depuis le printemps !
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Violence de l’extrême-droite sur les campus Niçois. L’ombre des années 1990/2000 ?
Ce mardi 1er septembre sur le campus niçois Carlone, des étudiants du syndicat « Solidaires Etudiant.e.s » ont été pris à partie par des membres d’un groupuscule raciste d’extrême-droite niçois étranger à l’Université. L’un des étudiants a dû être hospitalisé. Heureusement son pronostic vital n’est pas engagé.

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Rentrée scolaire : l’impréparation se poursuit pour une rentrée explosive et anxiogène
Le ministère a publié dans la soirée du vendredi 28 août des fiches thématiques sur la restauration, l’EPS, l’éducation musicale,l’internat et les récréations. Ces fiches thématiques, sont publiées trop tardivement sans que les équipes puissent s’en servir en amont de la rentrée scolaire.
Depuis plusieurs mois, SUD éducation alerte sur la nécessité de préparer sérieusement la rentrée scolaire, et de donner les moyens aux établissements et aux équipes de préparer le plus sereinement possible une rentrée qui s’annonçait compliquée.
L’organisation de la rentrée relève pourtant de l’improvisation.
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Le guide des AED - 2020-2021
Aujourd’hui, dans l’Éducation nationale, 1 personnel sur 4 est contractuel-le : assistant-e-s d’éducation, accompagnant-es d’élèves en situation de handicap, assistant-es pédagogiques, enseignant-e-s et administratif-ves contractuel-le-s, agent-e-s d’entretien…
Les Assistant-es d’éducation et les Assistant-e-s pédagogiques travaillent sous des contrats de droit public de la Fonction publique d’État. Ces contrats offrent très peu de protections collectives : bas salaires, temps incomplets imposés, pressions sur les renouvellements de contrats… Les contrats qui offrent peu de garanties créent de la précarité. Sur le terrain, cette situation se traduit par le non-respect des missions des AED, une quasi-absence de formation, des abus d’autorité de la part du-de la chef-fe ou des CPE, la non-reconnaissance du rôle pédagogique et éducatif du travail, l’absence de fiches de poste précises (avec pour conséquence la multiplication des tâches demandées, qui peuvent être assez éloignées des missions).
Se défendre pour faire respecter nos droits ! C’est l’objectif de ce guide qui s’adresse plus particulièrement aux personnels effectuant des missions de surveillance et d’éducation, AED et AP. Connaître ses droits et les faire respecter est un premier pas, mais nous devons aller plus loin et exiger de véritables améliorations dans le statut et dans les conditions de travail des personnels de Vie scolaire. Ce guide consacré aux droits des AED et des AP a été écrit à partir de l’expérience de militant-e-s syndicaux-ales AED et AP.
La Fédération SUD éducation, syndicat de lutte, revendique la titularisation de tou-te-s les précaires de l’éducation, sans conditions de concours ni de nationalité, la réduction du temps de travail et l’augmentation des salaires. SUD éducation revendique un vrai statut d’éducateur pour les personnels des équipes de Vie scolaire, sans limite dans le temps. Nous pensons que la précarité au travail doit disparaître au même titre que la précarisation généralisée de la société. C’est pour cela que SUD éducation se bat pour une autre école et une autre société, à l’opposé des politiques libérales et réactionnaires du gouvernement.
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LE 7 SEPTEMBRE, TOU.TE.S DEVANT LE TRIBUNAL DE NICE CONTRE l’EXTREME DROITE ET LES VIOLENCES POLICIERES !
Jeudi 9 mai 2019 à Nice, à la fin d’une manifestation syndicale contre la casse des services publics qui s’était déroulée de manière très calme, 4 militant.e.s (Solidaires, FSU) ont été violemment interpellé.e.s et mis.es en garde à vue pendant 24h sans raison.
Alec, Dany (Solidaires étudiant.e.s), Delphine et Olivier (professeur d’histoire géographie au lycée Calmette) sont alors accusé.e.s de violence, outrage et/ou rébellion.
Les témoignages concordants ainsi que les images et vidéos prises ce jour là montrent pourtant à quel point ces accusions sont sans fondemen